Grande Bardane - Teinture Mère BIO

La Compagnie des Sens a choisi cette teinture mère à base de racines de Grande Bardane de la gamme Ladrôme Laboratoire® pour diverses raisons :

• Ingrédients de haute qualité : Cette teinture est fabriquée exclusivement à partir d’ingrédients biologiques et 100 % naturelles.

• Provenance française : 82 % des plantes utilisées proviennent de France, y compris la Grande Bardane
• Formule pure et naturelle : Elle ne contient aucun colorant synthétique.
• Produit de qualité : l'extrait hydroalcoolique de Grande Bardane Ladrôme Laboratoire répond aux exigences de fabrication et de contrôle de la Pharmacopée.
• Fabriqué et conditionné en France par Ladrôme Laboratoire.
• Engagement pour l'environnement : Membre du collectif « 1 % for the Planet ».
• Conditionnement respectueux de l'environnement : Bouteille en verre ambré et emballage en carton.

La Grande Bardane (Arctium lappa L.), une plante bisannuelle vigoureuse, se développe sur les sols incultes et calcaires à travers l'Europe, à l'exception des zones méditerranéennes. Sa caractéristique la plus remarquable, la pilosité, a fait qu'elle soit traditionnellement associée à la santé des cheveux. En 1948, les capitules de Bardane ont inspiré Georges de Mestral dans la création du Velcro. Par ailleurs, la médecine traditionnelle chinoise valorise le fruit de la Grande Bardane pour ses capacités à éliminer les déséquilibres de vent et de chaleur dans le corps. En France, ses feuilles et sa racine sont reconnues officiellement par la Pharmacopée Française et listées dans sa catégorie A.

Assurer la qualité supérieure d'une teinture mère exige l'utilisation de matières premières biologiques certifiées, cueillies en respectant l'environnement ainsi que les conditions de travail des récolteurs. L'efficacité de la teinture est notablement améliorée grâce à l'emploi de plantes fraîches, même si la concentration des actifs varie sans normes établies. Un aspect crucial est la détermination du taux d'humidité des plantes, influençant directement la concentration alcoolique de la teinture finale, due à l'extraction de l'eau des plantes. Cette évaluation s'effectue en laboratoire par la pesée de la plante avant et après séchage. Selon les standards de la pharmacopée française, la proportion pour une alcoolature est fixée à 1/10 en fonction du poids sec de la plante, ce qui signifie l'utilisation de dix volumes d'alcool pour un volume de plante. Pour les teintures issues de plantes sèches, le ratio est de 1/5 du poids sec. La teinture mère de Grande Bardane, contient principalement des acides phénoliques, des poly-acétylènes, et des lactones sesquiterpéniques, utilisés à des fins médicinales en phytothérapie.

La Grande Bardane offre une multitude de bienfaits pour la santé et est une plante couramment utilisée dans les médecines traditionnelles. Elle est notamment utilisée pour faciliter les fonctions d’élimination de l’organisme et contribuer à un fonctionnement urinaire normal. Elle présente ainsi des propriétés drainantes.

• L’extrait hydro-alcoolique de Grande Bardane est un complément alimentaire à base de plantes.
• Ne se substitue pas à une alimentation variée et équilibrée et à un mode de vie sain.
• Ne pas dépasser la dose journalière indiquée.
• Tenir hors de portée des enfants.

Pour rappel :

• Il est conseillé de diluer 20 à 25 gouttes diluées dans un verre d'eau de 20 cL, 3 fois par jour, pendant 3 semaines.
• La dose journalière maximale est de 75 gouttes, soit 2,9 g d'extrait qui correspond, en moyenne, à 1,9 g de racines fraîches de Grande bardane.

• Maintenir une hydratation suffisante est crucial pour le fonctionnement optimal du système urinaire. Boire 1,5 à 2 litres d'eau quotidiennement est conseillé pour assurer une diurèse efficace.

• La fréquence normale pour uriner est de 4 à 6 fois par jour. Des changements dans cette fréquence peuvent indiquer des troubles urinaires, comme des infections de la vessie ou une augmentation du volume de la prostate. Il est essentiel de vider la vessie entièrement à chaque passage aux toilettes et d'éviter de se retenir trop longtemps.

• Certains médicaments peuvent provoquer une rétention urinaire comme effet secondaire. En cas de rétention, il est crucial de consulter un professionnel de santé.

• Il convient de démentir le mythe selon lequel une consommation élevée de protéines serait préjudiciable pour les reins. Sauf en présence d'une affection rénale préexistante nécessitant une surveillance de l'apport protéique, les protéines ne représentent généralement pas un risque pour les reins des individus sains.

• Pour toute difficulté liée à la miction, une consultation médicale est vivement recommandée. Négliger ces signes peut entraîner des complications sérieuses, telles que la rétention urinaire aiguë, avec des conséquences potentiellement lourdes à long terme.

Depuis trois décennies, établie entre le Vercors et la Provence au sein de la Biovallée, Ladrôme Laboratoire observe avec une inquiétude grandissante les impacts négatifs sur le territoire de la Drôme : la baisse anticipée du niveau des aquifères, l'accroissement des températures, les bouleversements climatiques devenant de plus en plus courants, les pathologies, et le déclin de la diversité biologique. En cohérence avec son engagement envers des pratiques durables, Ladrôme Laboratoire s'est inscrite au début de 2021 dans le mouvement international "1% for the Planet", marquant ainsi sa volonté de contribuer à la préservation de l'environnement, un domaine souvent négligé par les actions philanthropiques. En effet, en France, les dons en faveur de l'écologie ne représentent que 7% des contributions de mécénat.

"1% for the Planet" constitue un réseau global d'entreprises s'engageant à donner 1% de leur revenu annuel à des organisations dédiées à la protection de l'environnement, regroupant actuellement plus de 2 500 membres à travers le monde. En rejoignant cette démarche, Ladrôme Laboratoire s'oblige à verser 1% de ses revenus, provenant de toutes ses lignes de produits sans exception, pour soutenir des associations œuvrant efficacement en faveur de la protection de l'environnement.

Les teintures mères sont obtenues par la macération de plantes fraîches dans de l'alcool pur ou un mélange d'alcool et d'eau, ce qui permet d'extraire leurs actifs. Cette technique est aussi désignée par les termes d'extrait hydro-alcoolique ou alcoolature. Il est également possible, bien que moins courant, de produire des teintures mères en utilisant des plantes sèches.

Le procédé de fabrication reste le même pour les deux variantes : il s'agit de faire macérer une quantité spécifique de plante dans de l'alcool, de préférence à une concentration élevée, située entre 60 et 90 degrés. Néanmoins, en raison des difficultés à se procurer de tels degrés d'alcool, une utilisation d'alcool à 45-50 degrés est souvent préférée. L'alcool sert de solvant pour solubiliser et concentrer les composants de la plante. Pour optimiser l'extraction, les plantes sont préalablement broyées. La durée de la macération dépend de la plante utilisée et peut varier de quelques jours à plusieurs semaines, avec un mélange agité quotidiennement afin de favoriser une libération uniforme des actifs dans l'alcool. Suite à cette période, la préparation est filtrée et mise en bouteille dans un flacon teinté pour en préserver la qualité. Stockée à l'écart de la lumière et de la chaleur, la teinture mère peut se conserver pendant de nombreuses années.

Dans l'usage quotidien, "teinture mère" désigne souvent un extrait hydroalcoolique obtenu par la macération de plantes dans un mélange d'eau et d'alcool. Cette technique peut s'appliquer à l'ensemble de la plante ou à des parties spécifiques comme les feuilles, fleurs, graines, écorces, racines, ou fruits, utilisant des matières premières fraîches ou séchées. Le taux d'alcool utilisé pour la macération varie généralement de 60° à 90°, ajustable selon la nature des tissus végétaux et leur contenu en eau. Ces extraits peuvent être classés comme compléments alimentaires et consommés oralement, intégrés dans des bains de bouche, ou appliqués sur la peau.

Il convient de distinguer ces préparations des Teintures-Mères homéopathiques (TM), qui suivent des normes strictes définies par la Pharmacopée et sont régulées par les laboratoires homéopathiques. Ces dernières ne sont pas destinées à une utilisation en phytothérapie mais servent de base à la fabrication de remèdes homéopathiques, disponibles exclusivement en pharmacie. Leur commercialisation requiert une autorisation de mise sur le marché (AMM). Les Teintures-Mères homéopathiques se distinguent aussi par leur méthode de préparation, impliquant exclusivement l'emploi de plantes entières fraîches macérées dans de l'alcool à 95° pour une période de 21 jours, avec ajustement de la quantité de plante selon sa teneur en eau pour atteindre un degré alcoolique proche de 70°.

Malgré ces différences, le point commun entre toutes ces méthodes est l'utilisation de l'alcool comme moyen d'extraction et de conservation des principes actifs des plantes.

Les teintures mères, les huiles essentielles et les macérats de bourgeons sont des extractions concentrées et spécifiques d'une plante, chacune offrant une richesse en composants actifs. Une même plante ou un même arbre peut être à l'origine de ces trois produits distincts, chacun bénéficiant d'un procédé de fabrication et de propriétés uniques.

• Les teintures mères se fabriquent par la macération de plantes dans l'alcool pour extraire leurs actifs, également appelées extraits hydroalcooliques. Employées par voie orale ou cutanée, les teintures mères peuvent être administrées sur de courtes périodes ou lors de cures plus longues, exploitant ainsi les vertus spécifiques de la plante. Bien que présentant peu de restrictions d'usage, leur teneur en alcool les rend inappropriées pour certains groupes tels que les femmes enceintes, allaitantes et les jeunes enfants.

• Les huiles essentielles, quant à elles, sont des substances liquides volatiles et parfumées. Elles ne sont pas des huiles au sens traditionnel, mais des essences obtenues principalement par distillation de parties spécifiques d'une plante ou par pression mécanique pour les agrumes. Chaque huile essentielle capture la composition et les propriétés de la partie de la plante dont elle est extraite. Elles s'appliquent de diverses manières, y compris par ingestion, inhalation, diffusion, ou application cutanée, fournissant une action rapide et ciblée. Cependant, leur usage comporte des contre-indications et des risques qu'il convient de considérer précautionneusement.

• Les macérats de bourgeons sont élaborés à partir de bourgeons ou de jeunes pousses au moment de leur récolte, souvent au printemps. Macérés dans un mélange d'eau, d'alcool et de glycérine, ils encapsulent les propriétés intégrales de la plante. Ces macérats peuvent être consommés oralement, purs ou dilués, et sont réputés pour agir en profondeur, en douceur et sur le long terme. Ils sont généralement bien tolérés, avec peu de contre-indications et d'effets secondaires.

Chaque phase du processus de production est rigoureusement normée, que ce soit en ce qui concerne les outils utilisés, la durée des opérations ou les matières premières employées. Ces normes sont consignées et officialisées au sein de la Pharmacopée française ou européenne, garantissant ainsi une standardisation des pratiques. De ce fait, les teintures mères sont soumises à des contrôles sévères dans l'industrie pharmaceutique. Les laboratoires responsables de la production et de la distribution de teintures mères doivent obtenir une certification de Bonnes Pratiques de Fabrication (BPF) attribuée par l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM). La qualité des produits est assurée par des tests rigoureux, y compris la chromatographie, pour s'assurer que chaque produit respecte les standards établis.

Le système urinaire joue un rôle crucial dans la production, le stockage, et l'élimination de l'urine, et comprend plusieurs organes clés : les reins, les uretères, la vessie, l'urètre, et le méat urinaire.

• Les reins, organes jumeaux de la taille d'un haricot d'environ dix centimètres, sont positionnés sous le diaphragme, à l'arrière de l'abdomen et de chaque côté de la colonne vertébrale. Leur fonction principale est de filtrer et de purifier en continu le sang, produisant l'urine à partir des déchets solubles, des résidus de filtration et de l'excès d'eau.

• Les uretères, canaux musculaires de trente centimètres de long chez l'adulte, transportent l'urine des reins à la vessie.

• La vessie, un sac musculaire extensible, sert de réservoir temporaire pour l'urine. Elle est équipée de deux sphincters à l'endroit où elle se joint à l'urètre pour contrôler l'évacuation de l'urine. Le sphincter interne maintient l'urine dans la vessie jusqu'à ce qu'elle soit pleine, tandis que le sphincter externe, situé autour de la prostate chez l'homme, se relâche volontairement pour permettre la miction.

• L'urètre est le conduit par lequel l'urine passe de la vessie au méat urinaire, pour être finalement évacuée du corps.

La quantité d'urine produite, ou diurèse, varie en fonction de l'apport liquidien, de l'exercice physique, des conditions environnementales et de l'utilisation de médicaments, oscillant généralement entre 1,5 et 2 litres sur 24 heures. L'élimination de l'urine se fait normalement 4 à 6 fois par jour, de manière volontaire, efficace, sans douleur, et en une seule fois. Toute modification dans ces processus peut affecter la miction et nécessiter une évaluation médicale pour identifier et traiter toute anomalie potentielle.

La préservation de la santé du système urinaire repose essentiellement sur l'adoption de pratiques saines au quotidien.

• Hydratation : Boire suffisamment d'eau est crucial pour le système urinaire, car cela facilite l'élimination des déchets à travers l'urine. Il est conseillé de consommer 1,5 à 2 litres d'eau par jour pour les adultes, sachant que l'alimentation fournit également une quantité non négligeable d'eau.

• Éviter le tabac : Fumer accroît le risque de cancer de la vessie, il est donc recommandé d'arrêter de fumer pour protéger la santé de votre système urinaire.

• Ne pas différer la miction : Il est important de ne pas retenir l'urine trop longtemps, car cela peut affaiblir les muscles de la vessie et augmenter le risque d'infection. Il est conseillé d'uriner dès le besoin ressenti, idéalement toutes les trois à quatre heures, et de s'assurer que la vessie est bien vidée à chaque fois.

• Uriner après un rapport sexuel : Pour prévenir l'introduction de bactéries dans l'urètre et leur prolifération, il est recommandé d'uriner peu après un rapport sexuel.

• Maintenir une hygiène adéquate : Une bonne hygiène est essentielle pour prévenir les infections urinaires, particulièrement chez les femmes. Il est important de s'essuyer de l'avant vers l'arrière après avoir uriné pour éviter le transfert de bactéries vers l'urètre.

En suivant ces recommandations, vous contribuez à maintenir votre système urinaire en bonne santé et à réduire le risque de complications.

Une plante est considérée comme diurétique quand elle favorise l'augmentation de la production d'urine par les reins, ce qui est mesuré par la diurèse, ou volume d'urine émis sur une durée spécifique. Historiquement, les plantes dotées de propriétés diurétiques étaient employées pour activer la fonction rénale, aidant ainsi à l'évacuation accrue d'eau, de toxines et de sels minéraux (comme le sodium et le potassium) à travers le système urinaire. Cette stimulation entraîne une élévation notable de la quantité d'urine produite.

Pour soutenir la santé urinaire et stimuler l'élimination de l'eau par les reins, l'utilisation de certaines plantes, seules ou en association, est une option viable. Ces plantes peuvent être préparées de diverses manières, notamment sous forme d'infusions, gélules, comprimés, huiles essentielles, ou macérats de bourgeons. Parmi les plantes reconnues pour leur action diurétique, on trouve :

• Le Kinkéliba (Combretum micranthum) : Appréciée pour ses propriétés diurétiques, le Kinkéliba est couramment préparé en infusion.

• La Piloselle (Pilosella officinarum / Hieracium pilosella) : Utilisée en phytothérapie pour encourager l'élimination rénale de l'eau, la piloselle est prisée pour ses effets diurétiques.

• La Bugrane épineuse (Ononis spinosa) : Reconnue pour ses bienfaits sur le système urinaire, la bugrane épineuse est fréquemment utilisée dans les formules de compléments alimentaires visant à améliorer le confort urinaire.

La nature, véritable laboratoire du vivant, est le berceau de toutes les évolutions et innovations. Chez Ladrôme Laboratoire, cette richesse naturelle est valorisée scientifiquement pour en extraire des actifs bénéfiques. Depuis 30 ans, avec respect et humilité, Ladrôme Laboratoire développe des solutions de santé naturelles, biologiques et de haute qualité. Du champ au flacon, en collaborant étroitement avec leurs producteurs ou en maniant les éprouvettes en laboratoire, chaque détail est soigneusement pris en compte. Leur expertise collective permet de créer des formules aux synergies végétales optimales, sans ingrédients superflus.

La recherche de l'excellence par Ladrôme Laboratoire prend racine dans la Drôme, territoire où la richesse des plantes aromatiques et médicinales est magnifiée par le soleil provençal et l'air pur du Vercors. Cette fascination pour la botanique nourrit une conviction profonde dans le potentiel des remèdes naturels. Ancrées dans un héritage de connaissances traditionnelles et affinées par les avancées de la science contemporaine, ces approches révèlent un savoir-faire exceptionnel. Pendant trente ans, Ladrôme Laboratoire, avec ses collaborateurs, a promu une vision de la santé plus naturelle, intégrée et préventive. Avec l'ambition de transformer les perspectives pour les trente prochaines années, Ladrôme Laboratoire Laboratoire s'efforce de cultiver un changement d'attitude vers une appréciation renforcée des bienfaits des plantes et de leurs actifs.