Ces Cranberries infusées au jus de pomme sont Certifiées BIO par Ecocert (FR-BIO-01) et garanties sans contaminants, pesticides et métaux lourds selon la législation en vigueur. Chaque lot que nous vendons est sélectionné par nos experts sur la base de son analyse organoleptique et nutritionnelle, en vue d'une qualité optimale.
Les p’tits plus de la Compagnie des Sens :
Traçabilité et analyse qualité de chaque lot produit
Caractéristiques du produit :
Nom latin : | Vaccinium macrocarpon Aiton |
Origine : | Canada |
Riche en : | Fibres |
Ingrédients : | Cranberries 60 %, jus de pomme concentré 39 %, huile de tournesol 1 %, issus de l'agriculture biologique |
Ce produit possède ces labels :
Origine : Canada. Les Cranberries sont principalement cultivées en Amérique du Nord et plus spécialement au Canada, région réputée pour sa culture de Cranberries.
Certifications : produit 100 % naturel, issu de l'agriculture biologique, certifié par FR-BIO-01.
Analyse qualité : l'analyse des caractéristiques nutritionnelles, la microbiologie, l'absence de contaminants, pesticides et métaux lourds de chaque lot sont vérifiées par des laboratoires certifiés français.
Les Cranberries peuvent être consommées natures ou mélangées avec d’autres fruits secs, dans les céréales, les gâteaux, les biscuits ou les laitages.
Naturellement riche en fibres, les Cranberries vont avoir une action positive sur le transit intestinal et ainsi favoriser le confort digestif.
La forte teneur en antioxydants et notamment en vitamine C et flavonoïdes des Cranberries, permet de lutter contre les radicaux libres et ainsi de protéger l'organisme du vieillissement et de certaines maladies.
Composée de proanthocyanidines ou PAC, la Cranberry est réputée pour protéger le système urinaire. En effet, les PAC auraient une action antibactérienne permettant d'empêcher l'adhésion des germes à la paroi vésicale et ainsi de limiter les risques d'infections urinaires.
cranberries* 60 % (Vaccinium macrocarpon Aiton), jus de pomme concentré* 39 %, huile de tournesol* 1 %
*Produit issu de l'agriculture biologique
Mixer les physalis, les Cranberries et l'eau pour former une purée. Ajouter les autres ingrédients et bien mélanger. Verser dans un petit plat rectangulaire chemisé de papier cuisson et cuire 20 à 30 minutes au four à 150°C. Découper ensuite en carrés et conserver au frais dans une boite hermétique, pendant 7 jours maximum.
Préchauffer le four à 220°C. Faire fondre le beurre et le chocolat, puis ajouter le sucre et les œufs un par un. Fouetter, puis verser la farine et la levure. Ajouter les Cranberries et mélanger. Verser la préparation dans des petits moules et faire cuire 10 minutes en surveillant la cuisson, laisser refroidir et c'est prêt !
Mettre les ingrédients dans l'ordre dans le robot pétrisseur. Mélanger au crochet pendant 10 minutes. Etaler la pâte sur une épaisseur de 2 millimètres sur un plan de travail généreusement fariné. Avec un emporte pièce, détailler 12 cercles 2 cm plus grands que les moules à tartelettes que vous allez utiliser. Foncer ces cercles dans les moules à tartelettes.
Pour la garniture :Couper les extrémités et éplucher les courgettes. Avec un économe, faire des fines lamelles de courgettes en arrêtant lorsque l'on arrive aux graines. Répéter l'opération sur toutes les faces de la courgette. Poser 4 à 5 lamelles de courgettes les unes sur les autres et les rouler ensemble sans trop les serrer. Les disposer sur la tartelette et faire de même pour les autres. Mixer ensemble les œufs, la crème fraîche et le roquefort. Verser ce mélange sur les tartelettes. Parsemer de quelques Cranberries et enfourner à 180 °C pendant 25 minutes.
Mixer l'ensemble des ingrédients et servir frais !
La Cranberry (Vaccinium macrocarpon) est issue d'un arbuste de petite taille au feuillage persistant, faisant partie de la famille des Ericacées. Cet arbuste rampant d'environ 30 cm de haut, pousse sur des sols humides et acides avec un pH d'environ 4 à 5. On le retrouve généralement dans les régions montagneuses et dans les forêts. En été, il donne des fleurs roses et des baies rouges foncées, appelées Cranberry.
Très populaire en Amérique du Nord et plus particulièrement aux Etats-Unis et au Canada, la Cranberry était déjà consommée depuis de nombreuses années par les Indiens d'Amérique pour compenser leurs apports en vitamines notamment. Elle était également utilisée pour teindre les vêtements ou en cataplasme sur les blessures.
Le mot Cranberry est dérivé de deux termes, "berry" pour baie et "crane" pour grue, signifiant "la baie en forme de grue". Cette appellation fait référence à la fleur en début de floraison qui pousse vers le sol, rappelant la forme d'une grue.
On entend souvent parler de Canneberge, de Cranberry ou même d'Airelle pour désigner ces petites baies rouges, mais s'agit-il du même fruit ?
Le terme Cranberry désigne les fruits de ces deux espèces Vaccinium macrocarpon et Vaccinium oxycoccos, qui diffèrent seulement par leur région d'origine.
La Canneberge quant à elle, est tout simplement la traduction canadienne et française de la Cranberry.
Le terme Airelle peut s'appliquer à l'ensemble des fruits du genre Vaccinium. C'est-à-dire que même la myrtille Vaccinium myrtillus, peut être appelée airelle. Néanmoins, en Europe la dénomination airelle s'applique principalement pour l'espèce Vaccinium vitis idaea, l'airelle rouge, que l'on retrouve à l'état sauvage dans les pays nordiques.
Attention donc à ne pas confondre ces différents fruits qui se ressemblent beaucoup !
Les infections urinaires résultent d'une prolifération anormale de germes dans le système urinaire. Dans plus de 80 % des cas, la bactérie responsable est Escherichia coli.
La Cranberry est composée d'un principe actif la proanthocyanidine ou PAC, qui permettrait à une certaine dose d'inhiber l'action des bactéries responsables des infections. C'est pour cela qu'elle est généralement conseillée pour prévenir et diminuer les risques d'infections. Mais alors sous quelle forme et quelle quantité faut-il la consommer ?
La Cranberry se décline sous plusieurs formes : jus, complément alimentaire, fruits séchés ou encore fruits frais.
Une étude a montré qu'une quantité de 36 mg de PAC aurait une efficacité sur les infections. Néanmoins il est important de bien faire la différence entre ces produits permettant de limiter les infections urinaires et les traitements comme les antibiotiques qui sont aujourd'hui les seuls à être reconnus comme étant efficaces, en complément bien sur d'une bonne hygiène intime.