Houblon - Teinture Mère BIO

La Compagnie des Sens a choisi cette teinture mère à base d'influorescences femelles de Houblon de la gamme Ladrôme Laboratoire® pour diverses raisons :

• Qualité supérieure des ingrédients : cette teinture est élaborée seulement avec des ingrédients frais, BIO, et naturels à 100 %.

• Produit haut de gamme : l'extrait hydroalcoolique de Prêle des Champs Ladrôme Laboratoire est conforme aux normes de production et aux critères de qualité définis par la Pharmacopée.
• Composition pure et sans artifices : elle est exempte de colorants synthétiques.
• Produit et emballé en France par Ladrôme Laboratoire.
• Engagement écologique : collectif « 1 % for the Planet ».
• Emballage écoresponsable : bouteille en verre ambré et étui en carton.

Le Houblon (Humulus lupulus L.), ou Houblon grimpant, est une plante grimpante vivace de la famille des Cannabaceae, dotée de fleurs femelles de couleur jaune-verdâtre. Cette espèce, initialement domestiquée en Europe centrale, s'est naturalisée dans les climats tempérés du Sud, y compris en Afrique du Sud, Australie, et Amérique du Sud. Le Houblon sauvage d'Amérique se croise aisément avec les variétés européennes introduites par les colons. Originaire du Nord, le Houblon est valorisé pour ses "cônes", riches en composés bénéfiques, principalement utilisés en brasserie.

La culture du Houblon pour la production de bière remonte au 8ème siècle en Allemagne. Mais au-delà de son utilisation dans la brasserie, le Houblon offre des avantages pour la santé, spécialement reconnus pour atténuer les symptômes de la ménopause. Les cônes de Houblon sont recommandés pour promouvoir une ménopause plus sereine et agréable, aidant à gérer les symptômes tels que les bouffées de chaleur, la transpiration excessive, l'agitation et l'irritabilité.

Assurer la qualité supérieure d'une teinture mère implique l'utilisation de matières premières biologiques certifiées, cueillies dans le respect de l'écosystème et des conditions de travail des récolteurs. L'efficacité de la teinture bénéficie grandement de l'emploi de plantes fraîches, même si la teneur en actifs varie sans normes définies. Il est essentiel de contrôler l'humidité des plantes, influençant la concentration alcoolique du produit fini, due à l'extraction de l'eau des plantes. Cette vérification s'effectue en laboratoire par une pesée avant et après le séchage de la plante. Selon les normes de la pharmacopée française, le rapport pour une alcoolature est fixé à 1/10 par rapport au poids sec de la plante, exigeant ainsi dix volumes d'alcool pour un volume de plante séchée. Pour les teintures à base de plantes sèches, le ratio est de 1/5 du poids sec de la plante. En particulier, la teinture mère de Houblon se distingue par sa composition en 8-prénylnaringénine, xanthohumol, et acides α & β principalement.

• L’extrait hydro-alcoolique de partie aériennes de Prêle des Champs est un complément alimentaire à base de plantes.
• Ne se substitue pas à une alimentation variée et équilibrée et à un mode de vie sain.

• Ne pas dépasser la dose journalière indiquée.

• Tenir hors de portée des enfants.
• Déconseillé en cas d'antécédents personnels ou familiaux de cancer hormono-dépendant.
• Déconseillé aux enfants de -6 ans.
• Ne pas utiliser pendant la grossesse et l'allaitement.

Pour rappel :

• Il est conseillé de diluer 20 à 25 gouttes diluées dans un verre d'eau de 20 cL, 3 fois par jour, pendant 3 semaines.
• La dose journalière maximale est de 75 gouttes, soit 3 g d'extrait qui correspond, en moyenne, à 1,5 g d’inflorescences femelles de Houblon.

• La première recommandation pour les femmes en ménopause est de privilégier un régime alimentaire équilibrée et diversifiée. Il est essentiel d'augmenter la consommation de fruits, légumes et céréales complètes, tout en limitant les aliments riches en acides gras saturés, trans et en sucres. Les nutriments tels que les fibres, le magnésium, les protéines, le calcium, les omégas-3, et le phosphore sont particulièrement recommandés pour prévenir les déficiences susceptibles d'engendrer des troubles.

• Pour les femmes en ménopause, il est conseillé d'éviter l'alcool, le café, ainsi que les mets trop chauds ou épicés pour ne pas exacerber les symptômes, notamment les bouffées de chaleur.

• Pour les atténuer, ajustez la température ambiante, utilisez un ventilateur ou gardez un brumisateur d'eau à proximité. Porter des vêtements en couches légères et ajustables peut également aider à mieux gérer ces inconforts.

• Intégrer une activité physique légère à modérée, entre 15 et 30 minutes quotidiennement, est bénéfique pour prévenir les complications liées à la ménopause comme l'ostéoporose, l'hypertension ou les maladies cardiaques. L'exercice aide également à réduire le stress et à maintenir un poids stable, ce qui est crucial durant cette période.

• La gestion du stress est primordiale, surtout en raison des fluctuations hormonales qui peuvent affecter l'humeur et le comportement. Il est recommandé de s'adonner à des activités plaisantes (lecture, jeux vidéos, promenades) ou de pratiquer des méthodes de relaxation (yoga, sophrologie, exercices de respiration).

• Pour certaines, un traitement médicamenteux peut être nécessaire, surtout si les symptômes deviennent sévères et perturbent le quotidien. Dans ces cas, l'hormonothérapie peut être envisagée après consultation médicale.

Depuis plus de trois décennies, établie entre le Vercors et la Provence dans la région de la Biovallée, Ladrôme Laboratoire observe avec une inquiétude grandissante les impacts négatifs sur l'environnement local : la baisse anticipée des niveaux d'eau souterraine, l'augmentation des températures, les événements climatiques de plus en plus erratiques, les maladies et le déclin de la biodiversité. Pour renforcer son engagement envers des pratiques écoresponsables, Ladrôme Laboratoire a adhéré au mouvement mondial "1% for the Planet" au début de 2021, soulignant ainsi son intention de contribuer à la préservation de l'environnement, un domaine souvent négligé par les actions philanthropiques. En France, l'environnement bénéficie seulement de 7% des contributions philanthropiques.

"1% for the Planet" représente un réseau international d'entreprises qui s'engagent à donner 1% de leur revenu annuel à des organisations dédiées à la protection de l'environnement, rassemblant actuellement plus de 2 500 membres à travers le monde. En rejoignant cette initiative, Ladrôme Laboratoire s'engage à verser 1% de son chiffre d'affaires, provenant de toutes ses lignes de produits, au financement d'associations qui œuvrent efficacement pour la cause environnementale.

Les teintures mères sont obtenues en faisant macérer des plantes fraîches dans de l'alcool pur ou un mélange d'alcool et d'eau, ce qui permet d'extraire les composés des plantes. Ce procédé est aussi appelé extrait hydro-alcoolique ou alcoolature. Il est moins courant mais possible d'utiliser des plantes sèches pour produire une teinture mère.

Le procédé de fabrication est le même pour les deux variantes : il s'agit de faire tremper une quantité spécifique de plante dans de l'alcool, de préférence avec une concentration allant de 60 à 90 degrés. Cependant, en raison de la difficulté d'obtenir de l'alcool à haute concentration, un alcool de 45-50 degrés est souvent employé. L'alcool sert de solvant pour extraire et dissoudre les actifs de la plante. Les plantes sont préalablement broyées pour maximiser la libération de ces composés. La durée de la macération dépend de la plante utilisée et peut varier de quelques jours à plusieurs semaines, avec un brassage quotidien pour favoriser une extraction optimale des actifs. Suite à la macération, le liquide est filtré puis mis en bouteille dans un flacon opaque pour en conserver la qualité. Protégée de la lumière et de la chaleur, une teinture mère peut se conserver pendant de nombreuses années.

Dans l'usage général, le terme "teinture mère" désigne couramment l'extrait hydroalcoolique, un produit obtenu en macérant des plantes dans un mélange d'eau et d'alcool. Cette technique peut s'appliquer à la plante entière ou à certaines de ses parties spécifiques, comme les feuilles, les fleurs, les graines, l'écorce, les racines, ou les fruits. Ces matières premières peuvent être utilisées fraîches ou séchées, et la concentration en alcool peut fluctuer entre 60 et 90 degrés, ajustée selon la texture et la teneur en eau des tissus végétaux traités. Les extraits hydroalcooliques peuvent être classés comme compléments alimentaires et consommés par voie orale, mais ils peuvent aussi être incorporés dans des produits d'hygiène buccale ou appliqués sur la peau.

Il est important de distinguer ces produits des Teintures-Mères homéopathiques (TM), qui sont rigoureusement définies par la Pharmacopée et régulées par les laboratoires homéopathiques. Contrairement aux teintures mères utilisées en phytothérapie, les TM homéopathiques sont des bases pour la fabrication de médicaments homéopathiques et sont uniquement disponibles en pharmacie. Elles doivent être enregistrées et autorisées pour la mise sur le marché. Les TM homéopathiques sont spécifiquement préparées à partir de plantes entières fraîches, macérées dans de l'alcool à 95° pendant exactement 21 jours, avec un ajustement de la quantité de plante selon sa teneur en eau, visant une concentration finale d'alcool d'environ 70°.

Malgré leurs différences, toutes ces préparations partagent l'utilisation de l'alcool comme moyen d'extraction et de conservation des principes actifs des plantes.

Les teintures mères, huiles essentielles et macérats de bourgeons sont des extractions concentrées qui capturent l'essence et les principes actifs d'une plante ou d'un arbre. Bien qu'une même source végétale puisse donner lieu à ces trois types de produits, leurs procédés de fabrication et leurs propriétés sont uniques.

• Les teintures mères se créent en faisant macérer des plantes dans l'alcool, ce qui permet d'extraire leurs actifs, également appelés extraits hydroalcooliques. Elles peuvent être appliquées oralement ou sur la peau pour des cures courtes ou prolongées, apportant les vertus spécifiques de la plante. Cependant, du fait de leur teneur en alcool, elles ne conviennent pas à tous, notamment les enfants, les femmes enceintes ou allaitantes.

• Les huiles essentielles sont des liquides volatils et parfumés issus de la distillation de parties de plantes aromatiques ou par pression mécanique pour les agrumes. Ces essences concentrées, bien qu'appelées "huiles", ne sont pas grasses. Elles capturent l'essence de la portion de plante utilisée et peuvent être employées de diverses manières, y compris oralement, en inhalation ou en application cutanée, pour une action rapide et ciblée sur des maux spécifiques. Toutefois, elles nécessitent prudence dans leur utilisation en raison de potentielles contre-indications et risques.

• Les macérats de bourgeons sont préparés avec des bourgeons ou des pousses jeunes, macérés dans un mélange d'eau, d'alcool et de glycérine, capturant ainsi l'intégralité des caractéristiques de la plante. Principalement utilisés par voie orale, purs ou dilués, ils agissent de manière subtile et prolongée sur des déséquilibres profonds, avec généralement peu de contre-indications et d'effets secondaires.

Chaque phase du processus de production est rigoureusement définie, incluant les outils utilisés, le temps alloué, et les matières premières employées. Ces normes sont consignées et enregistrées dans la Pharmacopée française ou européenne, assurant ainsi que les teintures mères sont soumises à des inspections rigoureuses dans le secteur pharmaceutique. Les laboratoires produisant et distribuant ces teintures mères doivent obtenir une certification de Bonnes Pratiques de Fabrication (BPF) de l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM). La qualité des produits est scrupuleusement vérifiée, notamment par des analyses chromatographiques, pour garantir leur conformité aux normes établies.

La ménopause signale un tournant dans la vie d'une femme avec la cessation des menstruations. Ce changement s'effectue progressivement à mesure que les ovaires réduisent leur production d'œstrogènes et de progestérone, essentielles à la fertilité. Cette transition ne se fait pas du jour au lendemain et se divise en trois phases principales :

• Périménopause : Souvent évoquée sous le terme de "préménopause", la périménopause est le terme privilégié par les experts français. L'âge d'entrée dans cette phase varie considérablement d'une femme à l'autre. Elle précède la cessation des menstruations et se prolonge jusqu'à un an après l'arrêt des règles. Durant cette étape, les niveaux d'œstrogènes fluctuent, entraînant des changements dans la durée des cycles menstruels. C'est à ce moment que les premiers signes de la ménopause commencent à se manifester. Il est important de noter qu'une grossesse reste possible malgré l'apparition de symptômes ménopausiques.

• Ménopause : Cette phase est confirmée lorsque les menstruations ont cessé pendant 12 mois consécutifs. Outre la fin de la fertilité, elle est caractérisée par un arrêt définitif des règles. Généralement survenant entre 45 et 55 ans, la ménopause est marquée par une chute significative du taux d'œstrogènes, ce qui provoque divers symptômes ménopausiques.

• Post-ménopause : Après la ménopause, les menstruations s'arrêtent pour le reste de la vie. Bien que les symptômes ménopausiques tendent à diminuer, certaines femmes peuvent continuer à en éprouver pendant plusieurs années. Le risque de développer certaines maladies comme l'ostéoporose ou des troubles cardiovasculaires augmente en raison de la réduction des niveaux d'œstrogènes. Tout saignement vaginal post-ménopausique doit être examiné par un gynécologue, étant donné qu'aucun saignement ne devrait survenir après cette phase.

L'altération du cycle menstruel est souvent le premier indicateur de l'entrée dans la période de la ménopause. Après confirmation du diagnostic de ménopause, plusieurs symptômes peuvent se manifester :

• Gain de poids : Il est courant de prendre du poids pendant la ménopause, rendant l'exercice physique crucial pour en limiter l'impact.

• Bouffées de chaleur : Ces sensations soudaines et intenses de chaleur, accompagnées de transpiration abondante et de rougeurs sur le visage et le cou, sont aussi nommées bouffées vasomotrices.

• Sécheresse vaginale et des muqueuses : Les changements hormonaux de la ménopause peuvent entraîner une sécheresse et un amincissement des muqueuses du corps, y compris vaginales, principalement à cause de la diminution des niveaux d'œstrogènes.

• Sueurs nocturnes : Ces épisodes de transpiration excessive pendant la nuit peuvent grandement perturber le sommeil, étant une cause fréquente d'insomnie chez les femmes ménopausées.

• Troubles urinaires : Avec la ménopause, les muscles du plancher pelvien peuvent se relâcher, entraînant une incontinence urinaire. Ces symptômes nécessitent une évaluation médicale car ils peuvent devenir gênants.

• Troubles de l'humeur et du comportement : Les déséquilibres hormonaux peuvent engendrer des troubles de l'humeur et du comportement, incluant l'anxiété et la dépression. Dans des cas moins fréquents, la baisse des œstrogènes peut même conduire à des troubles plus sévères comme la schizophrénie ou les troubles bipolaires.

Pour favoriser l'équilibre hormonal, l'utilisation de certaines plantes, seules ou en combinaison, est courante. Elles peuvent être administrées sous diverses formes, y compris en tisanes, capsules, comprimés, huiles essentielles, ou macérats de bourgeons. Voici quelques plantes souvent recommandées :

• Le Muira Puama (Ptychopetalum olacoides) : Originaire des forêts du Brésil, cet arbuste est célèbre pour ses effets tonifiants et réparateurs, appréciés depuis des siècles par les populations indigènes d'Amazonie.

• La Rhubarbe sauvage (Rheum rhaponticum) : Cette plante pérenne et robuste est connue pour aider à soulager les symptômes liés aux déséquilibres hormonaux.

• Le Gattilier (Vitex agnus-castus) : Originaire du bassin méditerranéen, cette plante est utilisée depuis l'Antiquité pour ses bienfaits sur l'équilibre hormonal féminin notamment sous forme de teinture mère de Gattilier.

• Le Saule blanc (Salix alba) : Cet arbre, par ses propriétés, contribue à réduire les inconforts associés aux fluctuations hormonales.

• La Mélisse officinale (Melissa officinalis) : Vivace et aromatique, la Mélisse soutient le maintien de l'équilibre hormonal naturel de l'organisme. Elle peut se décliner sous forme d'huile essentielle de Mélisse ou encore de Tisane de Mélisse.

Ces plantes offrent une approche naturelle pour accompagner les changements hormonaux, notamment pendant des périodes comme la ménopause.

• Opter pour un régime alimentaire sain et équilibré. Adoptez une alimentation diversifiée, riche en fruits, légumes, grains entiers, protéines maigres et graisses saines, tout en limitant la consommation de sucre, de graisses saturées et de sel.

• Engager une routine d'exercice physique régulier, choisissant des activités qui vous intéressent pour faciliter la motivation. Ceci contribue aussi à maintenir la flexibilité corporelle et la tonicité musculaire. Ce qui compte surtout, c'est la constance, la détermination et une intensité appropriée.

• Rester actives sexuellement. Même si un lien direct de cause à effet n’est pas clairement établi, certaines études suggèrent que les femmes avec une vie sexuelle active aurait moins de symptômes liés à la ménopause comparativement à celles dont la vie sexuelle est moins active ou inexistante.

• Veiller à conserver un poids idéal. Pour cela, une approche holistique englobant une nutrition adéquate, une activité physique régulière et le bien-être général est fondamentale. Il est important de faire attention aux portions alimentaires et d’écouter les signaux de satiété de votre corps pour éviter la suralimentation. Intégrer des activités physiques plaisantes vélo dans votre routine peut contribuer à un équilibre énergétique positif. Un sommeil suffisant est également crucial, car un déficit de sommeil peut déséquilibrer les hormones de l'appétit. Évitez les régimes restrictifs qui promettent des résultats rapides mais sont souvent inefficaces sur le long terme, et privilégiez plutôt des changements alimentaires durables. Apprendre à reconnaître les signaux de faim et de satiété peut aider à manger de manière plus intuitive. En cas de doute ou pour des besoins diététiques spécifiques, il est toujours conseillé de consulter des professionnels de santé ou des nutritionnistes. Adapter ces stratégies à votre style de vie et à vos besoins individuels est essentiel pour atteindre et maintenir un poids corporel sain.

• Arrêter de fumer. En effet, l’arrêt du tabagisme évite d’accentuer les symptômes de la ménopause tels que les bouffées de chaleur.

• Développer de meilleures stratégies de gestion du stress. En effet, on observe une tendance à l'augmentation du stress pendant la période de transition vers la ménopause. Pour y remédier, diverses méthodes de relaxation peuvent être bénéfiques, telles que le yoga, le tai-chi, les exercices de respiration, la méditation ou la visualisation.

• Assurez-vous d'avoir un sommeil de qualité et reposez-vous dès que nécessaire.

• Des remèdes naturels spécialement élaborés pour atténuer les symptômes associés à la ménopause sont disponibles en soutien d’une bonne hygiène de vie.

Eviter ou réduiser particulièrement :

• La consommation d'aliments ultra-transformés tels que les chips, les produits de charcuterie et les sucreries. Bien qu'attrayants pour leur goût, ils apportent de grandes quantités de sodium et de sucres ajoutés, pouvant provoquer rétention d'eau et ballonnements. Les femmes ménopausées, en particulier, sont plus susceptibles de développer de l'hypertension et de prendre du poids, ce qui souligne l'importance de réduire les aliments riches en sel et en sucres.

• Les aliments épicés si vous souffrez de bouffées de chaleur, car la capsaïcine qu'ils contiennent peut intensifier la sensation de chaleur corporelle.

• L'alcool et les produits contenant de la caféine devraient être consommés avec modération ou évités pour ne pas perturber le sommeil, surtout pour celles qui expérimentent des insomnies, qu'elles soient liées aux sueurs nocturnes ou non.

• L'apport en aliments riches en acides gras saturés, tels que les viandes grasses, la charcuterie, le beurre et les œufs est également préconisé. Un excès de ces acides gras peut avoir des effets néfastes sur la santé, notamment en perturbant l'équilibre hormonal et l'humeur pendant la ménopause.

• Malgré la tentation de suivre un régime hypocalorique face à la prise de poids, cela n'est pas recommandé car ces régimes peuvent être trop restrictifs et source de frustration. Une approche plus douce, comme réduire les portions, peut être bénéfique, tout en privilégiant l'accompagnement par un diététicien-nutritionniste pour des conseils personnalisés.

Privilégier plutôt :

Une alimentation diversifiée et équilibrée est généralement suffisante pour satisfaire les besoins quotidiens en nutriments. Cependant, il est crucial de souligner l'importance de certains nutriments dont la carence peut affecter le bien-être des femmes ménopausées. Ainsi, il est bénéfique d'incorporer dans son alimentation :

• Fibres : Recommandées pour leur effet bénéfique sur la digestion et leur capacité à procurer une sensation de satiété. Les fruits, légumes, légumineuses et céréales complètes sont d'excellentes sources de fibres.

• Oméga-3 : Ces acides gras polyinsaturés sont précieux pour réduire les risques cardiovasculaires et sont cruciaux pour maintenir un équilibre hormonal, particulièrement perturbé pendant la ménopause. Les poissons gras et certaines huiles végétales (Huile de Lin, Huile de Noix, Huile de Cameline) sont riches en oméga-3.

• Calcium et phosphore : Essentiels pour la santé osseuse, le calcium est particulièrement important car la diminution des œstrogènes peut réduire la densité osseuse. Il est conseillé de consommer des aliments riches en calcium (produits laitiers, légumes verts à feuilles) et en phosphore (produits laitiers, viandes, poissons, œufs, oléagineux), et de compléter avec de la vitamine D pendant l'hiver.

• Protéines : Elles doivent être présentes à chaque repas pour leur rôle dans le maintien de la santé osseuse et pour aider à contrôler les fringales. Les sources de protéines incluent les viandes, poissons, œufs, produits laitiers et légumineuses.

• Magnésium : Important pour le bon fonctionnement du système nerveux et la régulation de l'humeur, le magnésium se trouve principalement dans les oléagineux, les fruits secs et les graines.

L'inflorescence, terme dérivé du latin "inflorescere" signifiant "fleurir", désigne la manière dont les fleurs d'une plante spécifique sont arrangées ensemble au sein d'une même espèce, habituellement sans aucune feuille les séparant. Ce schéma d'organisation peut être utilisé pour identifier une espèce, fréquemment un genre, et parfois même une famille entière. Il existe différents types d’inflorescences telles que :

• Le spacide : Inflorescence composée de fleurs portées par des pédicelles le long d'un seul axe, avec une floraison débutant à la base et progressant vers le sommet. Elle est caractéristique de la famille des Araceae, à laquelle appartient le Konjac par exemple.

• La capitule : Composée de fleurs sessiles, rassemblées sur un réceptacle commun portant les bractées. C’est le cas de la Camomille matricaire par exemple.

• L’épi : Inflorescence composée de fleurs sessiles (dépourvues de pédicelle) disposées le long d'un axe unique, où la floraison s'initie à la base et avance vers le sommet, comme la Verveine ou la Sauge.

• La grappe : Caractérisée par des fleurs sur pédicelles arrangées le long d'un axe singulier, avec une floraison qui s'effectue de la base vers le sommet. On connait particulièrement ce type d’inflorescence chez la Glycine.

• L’ombelle : Inflorescence composée de fleurs situées dans un plan unique, avec des pédicelles émergeant d'un point commun. Ce type d’influorescence est notamment retrouvée chez les différentes espèces d’Ail, le Chiendent et le Plantain.

• Le corymbe : Inflorescence où les fleurs sont alignées sur un même plan, avec des pédicelles arrangés le long d'un axe, rendant les pédicelles des fleurs périphériques plus longs que ceux au centre. Cette répartition est fréquente chez les arbres fruitiers.

• La cyme bipare : Cyme formée par deux méristèmes auxiliaires situés de chaque côté de l'apex de l'axe floral, comme c’est le cas pour la Bourrache.

• La Cyme multipare : Cyme formée de multiples méristèmes auxiliaires disposés autour de l'apex de l'axe floral, par exemple, l'euphorbe réveille-matin.

• La cyme scorpide : Cyme constituée d'un méristème auxiliaire positionné systématiquement du même côté de l'apex de l'axe floral. Le Myosotis des Alpes est un exemple caractéristique.

• La Cyme unipare hélicoïde : Cyme caractérisée par un méristème auxiliaire qui se positionne alternativement d'un côté puis de l'autre de l'apex de l'axe floral, à la manière du Lin.

• Le Glomérule : Rassemblement de fleurs sessiles ou munies de pédoncules courts, comme le Lamier Blanc.

L'inflorescence joue un rôle clé dans l'attraction des pollinisateurs grâce à l'impact visuel du regroupement des fleurs. Ce rassemblement augmente la fréquence et la variété des visiteurs pollinisateurs en fournissant une source abondante et facilement accessible de nourriture, tout en simplifiant l'approche et l'atterrissage. En outre, l'inflorescence donne l'illusion d'une seule grande fleur, ce qui suggère aux pollinisateurs une récompense plus riche en nectar et en Pollen.

La nature, véritable laboratoire du vivant, est le berceau de toutes les évolutions et innovations. Chez Ladrôme Laboratoire, cette richesse naturelle est valorisée scientifiquement pour en extraire des actifs bénéfiques. Depuis 30 ans, avec respect et humilité, Ladrôme Laboratoire développe des solutions de santé naturelles, biologiques et de haute qualité. De la terre au flacon, en travaillant en étroite collaboration avec les agriculteurs ou en manipulant des éprouvettes en laboratoire, chaque aspect est minutieusement considéré. Leur savoir-faire combiné facilite l'élaboration de formules qui tirent pleinement parti des plantes, sans aucun composant inutile.

Ladrôme Laboratoire puise son engagement pour l'excellence dans les terres de la Drôme, un lieu béni par la diversité des plantes aromatiques et médicinales, enrichies par le soleil de Provence et l'air pur du Vercors. Cette passion pour la botanique alimente une croyance ferme dans les vertus des remèdes naturels. Ces méthodes, ancrées dans un patrimoine de savoirs traditionnels et peaufinées par les progrès scientifiques modernes, manifestent un savoir-faire remarquable. Depuis trente ans, Ladrôme Laboratoire et son équipe ont défendu une approche de la santé qui est à la fois plus naturelle, holistique et préventive. Avec l'objectif de redéfinir les perspectives pour les trente années à venir, Ladrôme Laboratoire Laboratoire s'engage à encourager un changement de perception en faveur d'une meilleure reconnaissance des avantages des plantes et de leurs propriétés.